Manon Froment Eric Dupond-Moretti devant la Cour de justice de la République (CJR), le 7 novembre 2023. © Maxppp - Olivier Lejeune

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Title
Manon Froment Eric Dupond-Moretti devant la Cour de justice de la République (CJR), le 7 novembre 2023. © Maxppp - Olivier Lejeune
Description
L’image qui est soumise à notre étude et à notre analyse est extraite d’un article de la rédaction de France Bleu, par France Bleu Nord en date du 15 novembre 2023 s’intitulant : Procès d'Éric Dupond-Moretti : un an de prison avec sursis requis, la décision attendue le 29 novembre. Il conviendra, dans le cadre de l’analyse de cette image de justifier dans une première sous-partie le choix de cette image, puis de décomposer l’analyse de l’image sur les plans syntaxique, sémantique et pragmatique. Dès lors, j’évoquerai dans ma dernière sous-partie en quoi l’image est trompeuse avant de conclure sur le sens global de l’image.
A comme étudiant
Manon Froment
A comme question
1 - Justification du caractère trompeur de l'image
2 - Analyse syntaxique
3 - Analyse sémantique
4 - Analyse pragmatique
5 - Pourquoi et en quoi cette image est-elle trompeuse ?
6 - Raisons de ce choix
7 - Conclusion
8 - Bilan
A comme réponse
1 - Une image trompeuse est une représentation visuelle intentionnellement conçue pour induire en erreur ou influencer de manière biaisée la perception du spectateur. L'image d'Éric Dupond-Moretti se dirigeant peut être perçue comme trompeuse car elle peut créer une impression de fuite ou de retrait, suggérant potentiellement une sortie précipitée ou une évitement de la situation judiciaire. En effet, afin de comprendre le caractère « trompeur » de l’image il nécessite de mettre la photographie en corrélation avec l’article qui la fait apparaître. En effet, l’article s’intitule « Procès d'Éric Dupond-Moretti : un an de prison avec sursis requis, la décision attendue le 29 novembre ». La mise en relation de l’article de presse et de la photographie accentue d’avantage le sens trompeur de l’image : la tromperie en l’espèce survient notamment du signe linguistique « sortie ». Le mouvement du Ministre de la Justice se dirigeant vers la sortie indiquée par le panneau suggère une idée de fuite voire même d’échec anticipé de son procès. En effet l’annonce de la condamnation requise par la partie adverse mise en lien avec l’image abouti à une tromperie du spectateur laissant croire que le Ministre de Justice a d’ores et déjà perdu son procès devant la Cour de Justice de la République. La capture du Ministre de la Justice sortant de la salle de son procès peut être intentionnellement mise en scène pour créer une certaine impression. La manière dont il est photographié, son expression faciale, et la présence du panneau "sortie" peuvent être orchestrés pour susciter des émotions spécifiques chez le spectateur.Le choix du panneau "sortie", en particulier s'il est écrit en rouge, peut être interprété comme une tentative de suggérer une sortie rapide, une conclusion abrupte du procès, ou même une tentative de détourner l'attention du spectateur de détails plus nuancés du procès lui-même.
2 - L’image soumise à notre étude est une photo de presse en format paysage illustrant un article de journal numérique. Le support matériel d'une photo de presse peut par conséquent varier. En l’espèce, l’image est sous forme de fichier numérique capturée par une caméra numérique, puis sous forme de fichiers image.S’agissant des contours et lignes de l’image, nous pouvons observer 3 personnages incarnant 3 lignes parallèles. Les personnages, trois hommes, dispose d’une silhouette d’homme et sont vêtus de noir. S’agissant de la géométrie de l’image celle-ci ne présente pas réellement de formes géométriques mis à part le panneau « sortie /exit », étant précisé qu’il s’agit ici d’un rectangle. Il convient de développer l’aspect négatif et positif de l’image, suggérant en effet des espaces négatifs, à savoir vides, et positifs à savoir occupés. En effet la partie droite de l’image est occupée par les trois silhouettes d’hommes alors que la partie gauche de l’image semble négative car vide mis à part le panneau « Sortie/Exit ». S’agissant des couleurs présentes au sein de l’image, la couleur dominante est une couleur dite « nude », qui évoque la neutralité, la discrétion et l’intemporalité. En effet s’agissant ici de la couleur des murs de la Cour de Justice de la République l’intemporalité de la couleur des murs est ici de rigueur. La seconde couleur dominante au sein de l’image est le noir. Le noir, dans ce cas d’espèce, est la couleur des costumes des trois personnages de la photo dont Éric Dupond-Moretti, Ministre de la Justice. Enfin la couleur qui retient notre attention est le rouge. Cette couleur est présente au sein de l’image. En effet c’est la couleur de l’écriture sur le panneau « sortie/exit » ainsi que de la flèche. S’agissant de l’éclairage de l’image, le plan arrière semble éclairé par la lumière du jour alors que les premiers plans semblent éclairés par un éclairage d’appoint accentuant le contexte dans lequel se trouve le personnage principal, à savoir un lieu clôt, intérieur, enfermé. S’agissant des textures de la photo soumise à notre étude, on remarque une diversifications de textures allant d’une surface dure et craquelée des murs, à une surface lisse et douce du costume des trois personnages de l’image. Enfin le sol apparait complètement lisse et fluide, il apparait luisant, lustré.S’agissant de l’équilibre et de la répartition visuelles des éléments dans l’image, comme énoncé précédemment on recense une asymétrie entre la partie droite et la partie gauche de l’image. S’agissant des lignes présentes dans l’image, celles-ci sont difficilement identifiables, en effet les personnages incarne trois lignes verticales parallèles tandis que la flèche du panneau et le mouvement de marche des personnages suggèrent une ligne horizontale guidant le regard du spectateur vers le chemin du Ministre de la Justice. Une certaine perspective est créée dans l’image notamment de par les divers plans et les divers éclairages des plans. Le contraste de l’image nait de divergence de couleurs, de lumières et de lignes directrices. Enfin, s’agissant du mouvement de l’image, le mouvement capturé est dynamique et fluide, capturant les personnages en pleine marche, en pleine sortie de salle d’audience. S’agissant du cadrage de l’image : on retrouve ici un plan d’ensemble et non pas un plan rapproché. La photo est nette sur les premiers plans et floue s’agissant du plan arrière.
Les signes iconiques:Au premier plan
Éric Dupond-Moretti : Au premier plan, nous retrouvons le personnage central, Éric Dupond-Moretti, Ministre de la Justice, ancien avocat, vêtu d’un costume noir, une chemise blanche et une cravate bleu roi. La couleur noire a été développée précédemment néanmoins la dominante qui en ressort est l’élégance et la neutralité… pourquoi pas le deuil… pouvant viser alors le deuil de la carrière du Ministre de la Justice… Le bleu roi de la cravate traduit quant à lui le professionnalisme qui est en l’espèce de rigueur…, la confiance, le conservatisme et la stabilité, incarnant alors un personnage de confiance, fiable, stable, prouvant alors que le personnage a soigné sa tenue pour faire passer son message de défense. L’ancien avocat partage le centre de l’image avec le second signe iconique. Il est la représentation même de sa fonction. Son visage, fermé, peut traduire sa préoccupation, ou au contraire sa neutralité concernant le contexte judiciaire auquel il fait face dans cette scène. On le voit en mouvement, traduisant la dynamique du personnage, qui ne reste pas statique face à la situation mais qui semble se diriger vers « la sortie », mais de quelle sortie s’agit-il ? La sortie du monde de la politique ? La sortie de sa carrière ?
Le panneau sortie : Au sein du premier plan on retrouve également le signe iconique phare de l’analyse de cette photo à savoir le panneau indiquant la sortie intitulé « sortie/exit » écrit en rouge, en police simple mais lisible accompagné d’une flèche indiquant la direction de la sortie. Le rouge capture l’attention du regard du spectateur de la photo. De plus le parallélisme, voir même effet miroir, entre Éric Dupond-Moretti et le panneau amène le spectateur à mettre ces deux signes inconsciemment en lien, cherchant l’idée commune entre les deux signes. La flèche, par ailleurs, indique la direction que prend « Acquitator », rejoignant alors la dynamique, le mouvement et visant à regrouper ces deux signes pour les unir de façon trompeuse, mais cela sera développé plus amplement ci-après.
Les murs de la Cour de Justice de la République: On retrouve également les murs de la Cour de Justice de la République implantant le contexte et le lieu de la capture de cette scène. La couleur « nude », dite neutre, des murs traduit l’intemporalité du lieu. Les murs permettent la contextualisation de la scène, permettant également l’encadrement de la scène dans un lieu, un contexte.
Au second plan :Les personnages « figurants » : Au second plan, on retrouve deux personnes aux côtés du Ministre du la Justice, donnant un certain encadrement au Ministre de part leur parallélisme voir même symétrie de part et d’autre d’Eric Dupond-Moretti. Ils sont également tous deux vêtus de noir et sont également en plein mouvement, accompagnant alors l’ancien avocat dans sa dynamique.
Au dernier plan :La lumière du jour : Le plan arrière semble éclairé par la lumière du jour alors que les premiers plans semblent éclairés par un éclairage d’appoint accentuant le contexte dans lequel se trouve le personnage principal, à savoir un lieu clôt. On remarque alors que le Garde des Sceaux tourne le dos à cette lumière du jour, représentant la liberté… Faisant alors apparaître qu’Eric Dupond-Moretti tourne le dos à la liberté en se dirigeant vers un lieu clôt, vers la sortie.
Les signes linguistiques d'une image se réfèrent à l'utilisation d’un mots dans une image pour transmettre un message spécifique, une dimension verbale à l'aspect visuel de l'image. S’agissant de notre image : le mot « sortie ». Ce mot se situe sur le panneau indiquant la sortie de la Cour de Justice de la République. Il est écrit en rouge sur un fonds blanc, il est également traduit en anglais et il est accompagné d’une flèche rouge indiquant la direction à prendre pour se rendre vers la sortie. La couleur et la netteté du panneau attire de façon incontournable l’œil du spectateur.
3 - L’analyse sémantique consiste à associer les signes visuels précédemment identifiés à leur objet ou référent, afin de dégager le sens du message, les symboles, significations et représentations.

Des signes plastiques révélateurs du sens trompeur et symbolique de l’image :
Comme évoqué précédemment, les couleurs de la photographie qui est proposée à notre étude reflètent le sens même du message de l’image trompeuse. La couleur dominante, couleur dite « nude », est la couleur des murs de la Cour de Justice de la République qui évoque la neutralité, la discrétion et l’intemporalité. La couleur noir, couleur des costumes des trois personnages de la photo dont Éric Dupond-Moretti, Ministre de la Justice, incarne l’élégance, la puissance, la réserve mais également la sobriété due à leur profession et au lieu. Enfin, la couleur rouge de l’écriture sur le panneau « sortie/exit » ainsi que de la flèche est à rapprocher de la notion de danger, indiquant une issue de secours en cas de problème, signalant alors une urgence. En outre, on pourrait également rapporter cette couleur de la notion d’autorité et de pouvoir, en effet cette couleur est parfois utilisée dans des contextes officiels pour symboliser l’importance et la dominance… S’agissant de l’éclairage de l’image, le plan arrière semble éclairé par la lumière du jour alors que les premiers plans semblent éclairés par un éclairage d’appoint accentuant le contexte dans lequel se trouve le Ministre de la Justice à savoir un lieu clôt, faisant éventuellement un parallèle avec la prison. On remarque alors que le Garde des Sceaux tourne le dos à cette lumière du jour, lumière qui représente la liberté, l’indépendance… Faisant alors apparaître qu’Eric Dupond-Moretti tourne le dos à la liberté en se dirigeant vers un lieu clôt, vers la sortie. On laisse ici l’imagination du spectateur se demander vers quelle sortie il se dirige. S’agissant de la composition visuelle de l’image, l’équilibre et de la répartition visuelle des éléments dans l’image recensent une asymétrie entre la partie droite et la partie gauche de l’image. Les personnages incarnent trois lignes verticales parallèles tandis que la flèche du panneau et le mouvement de marche des personnages suggèrent une ligne horizontale guidant le regard du spectateur vers le chemin du Ministre de la Justice sous-entendu vers la sortie. Enfin, le mouvement capturé est dynamique et fluide, capturant les personnages en pleine marche, en pleine sortie de salle d’audience, répétant alors l’idée générale de sortie ou de fuite du Garde des Sceaux.
Un signe iconique révélateur du sens trompeur et symbolique de l’image : Il demeure 2 signes iconiques significatifs du sens trompeur de la photographie, Éric Dupond-Moretti dans un premier temps, vêtu de noir avec une cravate bleu roi, un visage neutre et fermé. Il traduit alors une certaine neutralité voire même une froideur face à la situation. Les couleurs traduisent quant à elles le professionnalisme et le noir vient ajouter la subtilité du deuil amenant à l’idée du deuil de la carrière du Garde des Sceaux. Enfin, le fait de la voir en mouvement traduit la dynamique de l’image et la marche vers la sortie, cela nous amène au second signe iconique significatif, le panneau « sortie/exit » qui revêt également le statut de signe linguistique.
Un signe linguistique révélateur du sens trompeur et symbolique de l’image : En l’espèce, ce signe linguistique est présent sur la gauche de l’image, sur un panneau indiquant la sortie. C’est pourquoi le mot soumis à notre analyse est le mot « sortie ». La couleur et la police de l’écriture de ce mot sont significative car elle est écrite en rouge sur un fond, ce qui attire l’attention du spectateur. De plus il est accompagné d’une flèche, en rouge également, indiquant la direction à prendre pour se diriger vers la sortie. En l’espèce la disposition du panneau et donc du signe linguistique positionné en miroir avec le signe iconique qu’est le Ministre de la Justice les place en corrélation l’un avec l’autre, voir les confronte notamment au travers de la dynamique de l’image traduite par le mouvement d’Eric Dupond-Moretti se dirigeant vers la sortie.
4 - L'analyse pragmatique d'une photographie de ce type implique la compréhension du contexte, des intentions communicatives et des éléments symboliques. La photographie étant prise à la sortie de la salle de son procès, le contexte judiciaire est essentiel. Cela crée une atmosphère sérieuse et souligne l'importance du moment dans la vie du Garde des Sceaux. La présence d'Éric Dupond-Moretti, sortant de la salle de son procès, suggère une volonté de communication, peut-être pour montrer sa réaction après le procès ou pour faire une déclaration à la presse. En tant que personnalité publique et homme politique, l'image d'Éric Dupond-Moretti sortant de son procès peut être utilisée pour façonner son image publique. Son attitude, son expression faciale et son comportement peuvent être interprétés comme des indices de sa confiance, de sa résilience ou d'autres aspects de sa personnalité pouvant amener au sens trompeur de l’image de presse. Le panneau "sortie" peut être interprété de manière symbolique. Il peut représenter la fin d'une étape, la résolution d'une situation judiciaire, ou encore la sortie d'une période de tension. Cela peut également être perçu comme une indication littérale du mouvement physique d'Éric Dupond-Moretti quittant le lieu. L’interprétation la plus trompeuse pouvant être faite est celle de la « sortie » du Ministre de la Justice s’agissant de la fin de sa carrière et par conséquent de sa sortie du monde politique et juridique. L'analyse pragmatique devrait également prendre en compte la manière dont cette image pourrait être perçue par le public. Les réactions pourraient varier en fonction des opinions politiques, de la couverture médiatique et de la perception générale d'Éric Dupond-Moretti. Cette photographie peut être utilisée par les médias pour illustrer des articles sur le procès ou sur la personnalité d'Éric Dupond-Moretti. L'angle sous lequel la photographie est prise, l'arrière-plan, et d'autres détails visuels peuvent influencer la manière dont elle est interprétée par le public.En résumé, cette photographie d'Éric Dupond-Moretti sortant de la salle de son procès peut être interprétée à plusieurs niveaux, allant de l'événement judiciaire à la gestion de l'image publique en passant par les symboles liés à la sortie. L'analyse pragmatique tient compte du contexte global et des intentions derrière la capture de cette image.
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6 - Choisir une photo d'Éric Dupond-Moretti pour analyser l'image trompeuse offre une perspective intrigante sur la manipulation visuelle et les perceptions publiques. En effet, en tant que personnalité publique, son image peut être stratégiquement façonnée pour influencer l'opinion. Le cadrage, l'éclairage et la mise en scène peuvent accentuer des aspects spécifiques de sa personnalité, influençant ainsi la perception du public. En tant qu'avocat et homme politique, sa photo peut renforcer des discours ou positions spécifiques. Dupond-Moretti étant connu pour sa communication forte et parfois controversée, la photo peut révéler des indices subtils sur son message implicite. L'analyse permet d'explorer les mécanismes de la persuasion visuelle et de comprendre comment une simple photographie peut façonner les opinions du public. Cela offre une opportunité d'approfondir la compréhension des stratégies médiatiques et de la manière dont les images peuvent être interprétées de manière subjective. En somme, l’étude d’une photo de presse d'Éric Dupond-Moretti devient un terrain d'étude fascinant pour décrypter les stratégies visuelles qui sous-tendent la communication médiatique et politique et d’avantage vis à vis de l’actualité judiciaire à laquelle il fait face. D’un point de vue factuel, le Ministre de la Justice, Éric Dupond-Moretti a comparu du 6 au 16 novembre 2023 devant la Cour de justice de la République pour avoir utilisé les attributions disciplinaires de son ministère afin de régler des comptes avec des magistrats anti-corruption avec lesquels il a été en conflit ouvert quand il était avocat. La Cour de Justice de la République a opté pour la relaxe.
7 - En résumé, une image politique peut être trompeuse si elle est délibérément mise en scène, utilise des symboles visuels de manière sélective, et omet des éléments cruciaux du contexte. La tromperie peut résider dans la manipulation de la perception du spectateur pour façonner une certaine narrative politique ou émotionnelle comme cela a été le cas pour notre Ministre de la Justice aujourd’hui relaxé, Eric Dupond-Moretti.
8 - L'analyse d'une image politique d'Éric Dupond-Moretti révèle une mise en scène intentionnelle, exploitant des symboles tels qu'un panneau "sortie" en rouge pour accentuer l'urgence. La sélection visuelle délibérée exclut certains éléments pertinents du contexte du procès, induisant en erreur sur la réalité du moment capturé. L'utilisation de couleurs vives vise à susciter des réactions émotionnelles sans nécessairement fournir une base factuelle solide. Cette image pourrait être perçue comme une stratégie de communication visant à façonner l'image publique d'Éric Dupond-Moretti. Le contexte politique plus large, y compris les enjeux en cours, est crucial pour contextualiser l'image. La réaction émotionnelle attendue chez le spectateur est une considération importante, soulignant la nécessité d'une approche critique face à de telles représentations visuelles. La réception médiatique de l'image doit être examinée pour évaluer son impact et sa diffusion. En conclusion, cette analyse met en lumière la manipulation intentionnelle de l'image pour influencer la perception du public, soulignant l'importance d'une compréhension nuancée dans le paysage politique.
Date Created
15/12/2023 09:48:41
Identifier
1195 3488 15/12/2023 09:48:4