Stéphanie Lams La pollution plastique

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Title
Stéphanie Lams La pollution plastique
Description
C'est un dessin verticale crée par un artiste.
Ce dessin montre deux plans:
Celui du dessus montrant la surface où nous distinguons "un rocher" avec des animaux dessus ainsi qu'un ciel aux couleurs orangé/rosé avec des mouettes.
Un autre plan montrant le dessous de l'eau avec un sac plastique.
A comme étudiant
Stéphanie Lams
A comme question
1 - Justification du caractère trompeur de l'image
2 - Analyse syntaxique
3 - Analyse sémantique
4 - Analyse pragmatique
5 - Pourquoi et en quoi cette image est-elle trompeuse ?
6 - Raisons de ce choix
7 - Conclusion
8 - Bilan
A comme réponse
1 - Selon moi, il s’agit d’une image trompeuse car si l’on prend la partie supérieure, nous ne voyons pas la partie inférieure, ce qui n’a pas le même sens :

les mouettes sont libres, nous pouvons constater un jolie couché de soleil où les animaux sont posés sur un rocher/iceberg.
En regardant ce dessin, mes émotions sont en paix, nous pouvons penser que rien d’important ne se passe et que tout est pur, qu’il ne s’agit que d’un dessin qui a pour objectif de « décorer », ou même de nous faire voyager à travers la nature qui semble paisible.

Seulement, en analysant la photo, nous pouvons apercevoir que l’aspect du rocher/iceberg est douteux.

Le rocher/ l’iceberg n’était finalement pas comme tel, puisque les phoques sont sur un sachet plastique.
Il s’agit d’une confusion lorsque l’on n’a pas vu l’entièreté de l’image mais également lorsqu’on la visionne d’autant plus, car l’interêt recherché sur le dessin était de tromper puisque l’aspect du sachet plastique à la surface est tracé de façon à ce que l’on confonde celui-ci avec le rocher /’iceberg.

Nous pouvons donc comprendre l’intérêt de ce dessin : à la surface tout semble correcte, paisible et harmonieux, seulement, nous pouvons pas voir la face cachée.
En nous mettant dans la peau d’une personne se baladant à la mer, nous ne voyons que la surface, nous ne pouvons pas voir les conséquences de la pollution à moins d’y faire attention.

En montrant l’entièreté de cette illustration à mes proches, ils n’ont pas réussis à constater que les animaux sont finalement sur le même sachet.
On peut distinguer qu’ils sont en contact direct avec les déchets.


2 - A) Les signes plastiques


Support Matériel: L’image est un dessin ,dessiné par l’artiste Andreas Häggkvist parue dans un magazine international d'art contemporain basé en Australie relayé sur le réseau social « X ».
Ses oeuvres sont très connus puisque beaucoup de site, de journaux ont partagés l’oeuvre.
Les dimensions réelles me sont inconnues. Le papier est relativement mat.

Formes, couleurs et éclairages, textures: La photographie possède deux plans: l’un au dessus et l’autre dessous , ces deux plans son totalement différents l’un de l’autre:
Les couleurs du haut du dessin sont lumineuses, on peut apercevoir du rose, du jaune ainsi que légèrement du violet, tandis que la partie du dessous est plus sombre, neutre et triste, nous pouvons apercevoir que le bleu de l’eau est assez terne avec quelques rayons de lumières.

Composition visuelle: Nous pouvons constater que la partie du haut distingue beaucoup plus d’éléments que la partie du dessous ainsi les couleurs sont plus lumineuses, mon attention se porte tout d’abord à la partie du haut puis ensuite vers la partie du bas.

Cadre, cadrage, angle de vue: Le cadre comporte une partie de la mer, centrée sur un « bloc de glaçon » où des phoques sont installés dessus, nous pouvons également voir le ciel, qui lui est composé de mouettes, au centre vers le bas on a également une vue sur un sachet plastique sous l’eau.


B) Les signes iconiques:

Le décor est donc la mer, nous avons la surface où nous pouvons apercevoir un « iceberg » /"rocher" où sont dessus huit phoques de couleur marron dans divers postures différentes (couché, debout…), nous pouvons constater qu’il y a également des mouettes sur cet « iceberg »/"rocher", dans le ciel, nous pouvons voir des couleurs assez vives ce qui permet de déterminer un couché de soleil, nous pouvons également voir des mouettes de couleur blanche voler à travers le ciel.
Nous pouvons également constater dans l’eau, qu’elle est assez profonde puisqu’on ne détermine pas le fond mais également une couleur bleue assez foncé. Il y a un sachet plastique à l’intérieur de l’eau.


C Les signes linguistiques

Il n’y a pas d’écriture sur la photographie, nous pouvons cependant apercevoir du côté des animaux un langage non verbal:
En effet, quelques mouettes volent assez bas, ce qui veut dire qu’elles sont en recherche de nourriture, quelques mouettes sont mêmes posées sur des phoques. Nous arrivons à décerner une relation de confiance. Mais le principal langage non-verbal que je remarque, c’est que les phoques regardent les mouettes voler
3 - Interprétants symboliques : De mon point de vue, les couleurs de la partie supérieure sont vives car elles signifient la vie. On peut voir les phoques sur l’iceberg, les mouettes voler mais également le contact entre les espèces animales (une bonne entente), ce qui reflète la « positivité »
Cependant pour la partie inférieure, les couleurs sont plus sombre, le bleu de l’eau est assez profond puis nous pouvons même constater le sachet plastique ce qui permet de comprendre que les couleurs sont assez tristes.

Dénotation/connotation: Nous pouvons constater que les phoques regardent les mouettes car c’est le seul mouvement qu’il se passe autour d’eux , la seule chose qui attire leur attention, peut-être que l’émetteur veut nous montrer qu’ils s’ennuient?
Ils sont également très proche l’un de l’autre, on peut constater un manque d’espace. Peut être veut-il mettre en avant que la pollution est responsable de la fonte des glaces en le montrant à travers ce dessin.

La métaphore: Nous pouvons constater que le sujet principal qui est la pollution est reflété à travers un endroit (la mer) mais surtout aux conséquences que cela peut avoir sur les animaux, le lien entre les deux est présent et est montré à travers ce dessin.
4 - Ce dessin à été publié dans un magazine d’art contemporain sans doute pour attirer la visibilité à travers toutes les générations, un magazine peut-être feuilleté par un large public. En effet, les magazines d’art sont souvent très coloré, certaines couvertures de magazine possèdent des illustrations de personnes humaine, d’animaux, d’objets. Les magazines par leur aspect assez attirant, sont « facile à consulter », le principe est de regarder des oeuvres, des dessins, des illustrations qui ne demande « pas forcément » de lire du texte (tout le monde n’aime pas forcément lire).
Les enfants aiment principalement les livres pour les images, nous rencontrons souvent des magazines à travers les commerces, les lieux de santé. Un enfant dans cette situation aura tendance à consulter des magazines en cas d’ennuie puis se sensibiliser à un sujet important à travers un dessin simple , d'un sujet assez complexe à comprendre à cet âge là, en l’occurence la pollution.
Mais les personnes âgées ont tendance aussi à rencontrer certaines difficultés à lire avec l ‘âge, il est vrai que pour ce public, regarder une image est plus évident que lire un article concernant le sujet de celui-ci. De plus chaque personne est concerné par la pollution.

Le dessin met en avant la pollution plastique, il s’agit de la pollution émise à travers d’objets jetés , abandonnés (boîtes, bouteilles en plastique, canettes…) . Le dessinateur alors n’a pas de type de public puisque la pollution concerne tout le monde. Le dessin est à l’endroit de la mer qui est accessible par toute la population, nous sommes donc tous concernés par cette photographie qui montre les conséquences de la pollution.

Le dessinateur à pour objectif de sensibiliser, en effet, il veut d’une manière simple attirer l’attention sur les animaux ainsi que le sachet plastique.
Selon moi, il est évident qu’il cherche à provoquer une émotion forte à travers ce dessin puisqu’il met en avant les animaux (et que beaucoup d’humains aiment les animaux). Certains prennent conscience que jeter des déchets à travers la mer n’est loin d’être sans conséquences mais que c’est très dangereux pour les animaux.
Beaucoup de changements ont été fait en France suite à la pollution plastique, les animaux (tortues…) ont été fortement concernés par celle-ci. Nous privilégions le carton au plastique suite à quelques prises de conscience. Seulement il est bien de rappeler que la pollution est toujours d’actualité et qu’il faut sensibiliser le public dès le plus jeune âge.
5 -
6 - J’ai choisi cette image car non seulement de son aspect trompeur, c’est une image qui traite un sujet très important à mes yeux : la pollution.
Par son bel aspect mais également le message caché de cette image, j’ai trouvé cela très interessant de pourvoir l’analyser.
Nous retrouvons de la réflexion ainsi que de l’organisation au sein de cette image.
7 - Nous pouvons donc comprendre l’intérêt de ce dessin : à la surface tout semble correcte, paisible et harmonieux, seulement, nous pouvons pas voir la face caché.
En nous mettant dans la peau d’une personne se baladant à la mer, nous ne voyons que la surface, nous ne pouvons pas voir les conséquences de la pollution à moins d’y faire attention.

En montrant l’entièreté de cette illustration à mes proches, ils n’ont pas réussis à constater que les animaux sont finalement sur le même sachet, on peut distinguer qu’ils sont en contact direct avec les déchets.
8 - Il était très intéressant d'analyser une image trompeuse, ce sujet était très important pour moi!

Je pense qu'il est important de sensibiliser encore et encore la population sur le sujet de la pollution:
Jeter un déchet dans la mer ne disparaît pas car on ne peut plus le distinguer à travers nos yeux, il restera très longtemps dans la mer, polluera, blessera.
Le sac plastique illustré sur ce dessin prendrait 450 ans avant de se dégrader complètement.

Date Created
17/12/2023 18:22:53
Identifier
1061 3706 17/12/2023 18:22:5