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Title
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Yasmine Mater le baiser de l’hôtel de ville
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Description
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L’image sur laquelle repose le travail d’analyse interprétative ci-dessus est la capture d’une photographie prise par un célèbre photographe, Robert Doisneau. Cette photographie a été prise et publiée dans le magazine américain Life en 1950. Le titre de cette photo est « le baiser de l’hôtel de ville ». L’image étudiée se présente sous la forme d’une photo. La photo est en noir est blanc, malgré cela nous remarquons quand même des contrastes de couleur. La photo est floue à certains endroits sauf au centre ce qui permet de diriger le regard du spectateur directement au centre de la photo. Nous y retrouvons un couple qui s’embrasse au centre de la photo.
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A comme question
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1 - Justification du caractère trompeur de l'image
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2 - Analyse syntaxique
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3 - Analyse sémantique
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4 - Analyse pragmatique
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5 - Pourquoi et en quoi cette image est-elle trompeuse ?
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6 - Raisons de ce choix
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7 - Conclusion
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8 - Bilan
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A comme réponse
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1 - Cette photographie, bien qu'esthétiquement captivante, présente en réalité un aspect trompeur. Le photographe semble avoir délibérément construit une histoire fictive, non pas dans le but d'immortaliser une réalité authentique, mais plutôt dans l'objectif de susciter l'admiration du spectateur à des fins pécuniaires. Derrière la façade émotionnelle de l'image se cache une mise en scène calculée, évoquant des sentiments artificiels et une histoire d'amour qui relève davantage de l'invention que de la vérité. Le photographe et les deux protagonistes ont orchestré une tentative de tromperie, cherchant à induire en erreur le spectateur pour des gains personnels, altérant ainsi la réalité au nom de l'art et des récompenses financières. En mettant en lumière cette supercherie, il est essentiel de remettre en question notre perception et de reconnaître que parfois, l'émotion capturée dans une photographie peut être une création astucieuse plutôt qu'un reflet authentique de la réalité.
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2 - L’analyse syntaxique de l’image concerne la manière dont les différents éléments visuels sont disposés dans l’image. Nous prenons en compte les différents éléments visuels, tels que les couleurs, les formes, les textures, les tailles, les proportions, les contrastes et les angles.
Il faut savoir que la photographie a été inventé au 19ème siècle. Celle-ci était mise au service pour la science. A cette époque, la caméra n’était qu’un instrument permettant d’enregistrer la réalité de façon objective, sans intervention humaine.
La photo ci-dessus en est la preuve, elle nous porte un message et pour le décrypter il nous faut analyser cette image.
Au plan technique, il s’agit d’une photo d’une image conçue pour paraitre dans un magazine. Elle a été prise grâce à un appareil photo dernier cri à cette époque (1950), aujourd’hui on pourrait dire qu’elle a un effet « vintage ».
Malgré le fait que la photo soit en noir et blanc, les détails sont très clairs et nets. La personne prenant la photo doit etre un spécialiste, c’est surement un photographe expérimenté et la photographie doit etre son métier. La luminosité en arrière-plan est faible mais le premier plan est nettement visible.
L’image à analyser est prise en format paysage, qui nous permet d’avoir un aperçu global du décor et de l’endroit où le photographe a pris la photo.
Au plan linguistique, l’image ne comporte aucun élément linguistique particulier à analyser.
Au plan iconique, la photographie semble avoir été prise en pleins centre-ville.
Le bâtiment se trouvant en arrière-plan semble etre une mairie de par sa hauteur, sa devanture et son architecture. Il y a aussi des voitures qui se déplacent et se stationnent. Le flou qui est en arrière-plan nous permet d’avoir directement le regard qui porte sur les deux individus au centre de la photo qui eux sont nets.
Cette photo montre des personnes lambdas, qui se promène dans la rue se sont tous des personnes adultes. L’élément principale de cette photo est les deux personnes qui s’embrassent au centre de la photo. La photographie se découpe en 4 plans :
- On constate tout d’abord une silhouette de dos en premier plan à gauche : il semble etre assis autour d’une table ronde. La silhouette est surement un homme, nous le remarquons grâce à sa coupe de cheveux et ses vêtements. Il a les cheveux court, foncé et porte un manteau qui semble long et large au niveau des épaules. L’homme a son manteau sur le dos et une écharpe, nous pouvons donc en déduire qu’il se trouve en extérieur et qu’il est peut etre assis sur une terrasse pour boire un café ou autre.
- En deuxième plan nous voyons en premier et au centre de la photographie deux individus. Ils semblent être en couple car ils s’enlacent et s’embrassent. Ils sont aussi habillés chaudement avec tous les deux un long manteau et une écharpe pour l’homme. Ils semblent amoureux et heureux d’être ensemble. Ils s’embrassent passionnément. Tout autour du couple nous remarquons qu’il y a aussi de la population. A gauche du couple nous voyons un homme, nous pouvons penser que c’est un homme « d’affaire » car sous son manteau nous remarquons une chemise et une cravate. Derrière le couple, une femme et un homme font leurs apparitions. Nous distinguons clairement la femme contrairement à l’homme qui lui est flou et est en mouvement. A droite du couple nous remarquons la silhouette d’un homme, la photo est coupée donc nous ne voyons pas son visage. Il porte un chapeau ainsi qu’une veste longue et il se déplace les mains dans le dos. Puis nous pouvons aussi voir, derrière le couple deux voitures en mouvement. L’une roule et l’autre semble se garer. Nous remarquons que les seules personnes qui ne sont pas en mouvement sont les deux protagonistes au centre de la photo, les personnes autour sont en mouvement.
- L’arrière-plan est flou mais nous pouvons y voir un bâtiment, de par son architecture nous pouvons constater qu’il s’agit d’une mairie, elle possède ce qui semble etre une horloge en haut au centre. Il y a aussi quelque arbre mais ils sont difficiles à apercevoir.
Au plan plastique et/ou formel (composition, éclairage, cadrage), la photographie a été prise en centre-ville, nous le remarquons avec la mairie en arrière-plan. L’angle de prise de vue est vertical par rapport au protagoniste au centre. La prise de vue de la photo est droite, elle aussi prise à la hauteur de la tête de l’homme de dos assis, comme si nous étions aussi assis sur une chaise entrai de contempler le paysage et la scène des deux amoureux.
Les couleurs présentent sur la photo sont le noir et le blanc. Il y a aussi des nuances de gris.
La texture est celle d’une photographie de l’époque :
- Le support de signe : la qualité de la photo est plutôt bonne, même très bonne pour une photo des années 50. Nous distinguons très bien les éléments de la photo.
- La matière expressive : malgré sa bonne quantité, l’image reste légèrement pixélisée, il n’avait pas notre technologie d’aujourd’hui à l’époque mais il avait la technologie nécessaire pour faire des photos puissantes, des photos qui porte un message. Le seul point de lumière est le ciel éclairé par la lumière du jour. Le reste est sombre et mystérieux. Le point le plus sombre est le couple au centre qui s’embrasse, ce qui créé un contraste comme s’ils étaient un élément appart de la photo.
- La manière d’expression : les deux protagonistes au centre sont comme figé dans la photo, ils sont les seuls immobiles contrairement aux autres personnes autour et aux voitures. Ils ont l’aire amoureux et passionnées alors que l’expression de visage des autres personnes est sérieuse, concentré…
Le ciel gris clair est le seul point de lumière, ce qui « éclaire » le bas de la photo qui elle est assez sombre. Lorsque nous regardons l’image nous sommes tout de suite attirés par le couple au centre. Ils sont comme un éléments appart de la photo et c’est pourtant eux qui alimentent la photo. C’est eux la photographie serait banale et ne porterait aucuns messages.
Cette photographie a l’aire naturelle, sans artifice. En noir et blanc la photo a l’air triste, elle ne dégage aucune émotion. De plus le temps a l’air froid, cela doit se passer en hiver car les personnes de la photo sont habillées chaudement. Les personnes autour du couple semblent n’éprouver aucunes émotions ce qui rend la photo encore plus « déprimante ». Malgré cela lorsque nous regardons le couple au centre de la photo cela redonne du baume au cœur.
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3 - Le plan sémantique d’une image est la signification et la représentation des éléments visuels qu’elle contient. Cela implique décrire les différents éléments présents dans l’image et leur signification, ainsi que les associations d’idées et les symboles qui y figurent. Il s’agit donc de décrire comment l’image transmet une idée ou un message.
La photographie était, est et sera LE moyen de communication le plus efficace et rendue pour faire passer un message précis dans le monde entier.
Malgré que cette photo soit en noir et blanc, les couleurs véhicules quelque chose
- Le gris du ciel : c’est la couleur la plus clair de la photo, elle permet d’émettre un contraste avec les autres éléments qui eux sont sombre. Mais dans la réalité, sans que la photo ne sois en noir et blanc, nous pouvons imaginer que le ciel soit un ciel d’hiver c’est-à-dire blanc ou gris.
- Le noir : c’est la couleur dominante de la photo elle est omniprésente.que ce soit sur les vêtements des passants jusque sur les voitures. Malgré que la photo soit en noir et blanc, nous pouvons nous imaginer que les vêtements sont de couleur sombre grâce au nuance sombre, noir, qui ressort de la photo. Si les vêtements étaient de couleur claire, les vêtements sur la photo en noir et blanc ressortirais gris comme le ciel.
Nous allons analyser les éléments du moins au plus importants.
Tout d’abords nous pouvons remarquer le grand bâtiment en arrière-plan, grâce à son architecture nous pouvons constater qu’il s’agit d’une mairie. De plus nous pouvons remarquer une horloge en haut au centre du bâtiment, ce qui confirme notre hypothèse.
Cette mairie nous permet d’en déduire que cette photo a été prise en centre-ville, nous pouvons voir aussi des voitures en circulation.
Pour ce qui est de la saison, nous remarquons que le ciel est gris clair et que les personnes en bas de la photographie sont habillé chaudement, ils portent de long manteau, des chapeaux, des gangs , des écharpe… Nous pouvons donc en déduire que cette photo a été prise en hiver ou proche de l’hiver.
La qualité de la photo en arrière-plan est floue, peut etre pour pas que notre regarde se porte directement ici car ce n’est pas l’élément le plus important de l’image. Le floue peut aussi nous faire penser a du brouillard ci cette photo a été prise en hiver.
Leur manière de s’habiller est un peu à la « française » avec le béret de l’homme a droit, des vêtements cintrer au corps.
Ensuite nous pouvons remarquer que la photo a été prise au niveau de la tête de l’homme en bas a droite. Nous pouvons donc nous imaginer que le photographe n’avait pas prévu de prendre cette photo. Nous voyons des tables en extérieur ce qui peut nous faire penser à une terrasse pour prendre le café, le photographe prenait peut etre du bon temps. Il était là au bon moment au bonne endroit ce qui lui a permis de prendre cette magnifique photo.
Nous remarquons aussi une différence d’expression de visage.
En effet lorsque nous regardons les personnes en face du photographe, ils ont l’aire sérieux, concentré. Il n’y a pas de sourire sur leur visage. Il se déplacent quasiment tous dans le même sens.
Vu que cela se passe en centre-ville, nous pouvons penser que ces personnes sortent au ce dirige a leur travail. D’ailleurs l’homme flou en arrière-plan est flou, ce qui prouve qu’il est peut etre entrai de courir car il est en retard. Le temps joue aussi sur les émotions de ses individus car le ciel est gris, fade, triste et l’on sait tous que le temps peut jouer sur les émotions et les humeurs.
Les seules personnes à se différencier sont le couple au centre de la photo.
Ils ont l’aire heureux, il prenne le temps de s’embrasser, ils vivent pleinement leur amour et ont l’air amoureux.
Étant les éléments les plus sombre de la photo et étant au centre de la photo, le regard du spectateur se porte directement sur eux.
De plus nous remarquons que ce sont les seules personnes à ne pas etre en mouvement. Ils sont comme figé dans le temps. Nous pouvons supposer qu’ils sont déconnectés de la réalité, les personnes autour d’eux sont concentrés sur leur trajet, sur là où ils doivent aller, alors que les deux protagonistes sont statiques et s’embrassent tendrement. Ils bloquent le passage des autres passant comme ci ils ne prenaient pas en compte le regard des autres et que leur amour était plus important que tout au monde. Ils sont figés dans le temps et l’espace.
Leur comportement est assez enfantin contrairement aux autres personnes qui eux vivent dans le monde des adultes, pour eux il n’y a pas de place pour l’amour, ils ont des priorités plus importantes.
Nous pouvons penser que le couple se trouvent comme dans un rêve, dans un conte de fée ou la princesse rencontre son prince charmant. Le flou en arrière-plan fait ressortir le couple au centre de l’image et nous fait penser justement à cette notion de rêve, de nuage, comme ci il n’était pas dans la réalité.
De plus si cette photographie a été pris en France, nous pouvons penser que qu’elle a été prise a Paris qui est justement « la ville de l’amour ».
L’homme qui embrasse sa femme l’enlacent aussi, avec sa main sur son épaule. Les autres passant a un visage fermé soit par ce qu’ils ne prennent pas en compte cette situation, ils passent outre cet homme et cette femme qui s’embrassent, soit car ils sont choqués par cette scène : la femme derrière le couple a l’aire « dégouté » de cette situation.
Nous pouvons nous demander pourquoi ce couple s’embrassent à ce moment précis ?
Si nous regardons bien, nous voyons que les personnes sont habillées avec des vêtements des années 40-50.
Peut etre que l’homme en question est un soldat de guerre et qu’il profite de ces derniers instants avec l’amour de sa vie car il va bientôt partir au front et ne rentrera peut etre pas.
Dans ce cas-là, la photo prend une tournure dramatique ce qui explique les couleurs sombres, le visage fermé des passants qui souffrent aussi de cette guerre. Et cela explique aussi le geste d’amour des deux protagonistes. Le flou et le brouillard en arrière-plan représenterait aussi le désespoir, la ville qui disparait, la vie qui s’arrête…
Au contraire nous pouvons aussi penser que c’est un soldat qui rentre de guerre et qui retrouve l’amour de sa vie.Cela peut nous faire penser à la célèbre photographie « le baiser de Times Square » (ce sont des soldats qui célèbre la fin de la seconde guerre mondiale, un des soldats vole le baiser d’une jeune femme).
Sur la photographie ci-dessus, la femme est heureuse de retrouver son homme. Mais peut etre que les passant derrière eux sont triste et traumatisé de cette guerre ce qui explique leur manque d’expression.
La façon dont sont positionné le couple a l’aire spontanée, même si la main de l’homme est posée sur l’épaule de la femme, la façon dont ils sont positionnés nous montre qu’il faisait quelque chose avant se baisé, ils étaient peut etre entrain de marcher et d’un coup d’un seul ils se sont embrassés. Ce qui explique pourquoi le positionnement de leur corps est « bancal » et que leurs mains sont dans les aires et pas posé sur le corps de l’un de l‘autre. Nous pouvons dire que le photographe était là au bon endroit au bon moment, le couple n’a pas eu le temps de prendre la pause.
Puis nous pouvons supposer que la raison pour laquelle le couple est l’élément le plus sombre est qu’ils n’ont pas besoin de lumière pour que l’on puisse les voir, leur geste d’amour éclaire le tableau. Ils se démarquent de ce décor triste et monotone. C’est pour cela que notre regard se posent sur eux
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4 - Dans cette partie de l’analyse nous allons prend en compte le contexte social et culturel dans lequel cette photo a été produite. Nous pouvons aussi considérer comment les différents groupes sociaux peuvent interpréter l’image. Dans ce cadre, il est possible de décrire les références et les associations culturelles qui sont présentes dans l’image, ainsi que les stéréotypes et les préjugés qui peuvent etre véhiculé. Il est aussi pertinent d’examiner comment l’image peut etre utilisée pour influencer les attitudes et les comportements des individus et des groupes.
La photographie se déroule en 1950, la photographie est devenue une sorte de symbole de Paris.
En regardant cette photographie nous pouvons penser que c’est une photo poétique et romantique, pleine d’amour et de tendresse.
Mais en faisant quelques recherches nous nous rendons compte que cette photo n’a rien de tout ça.
Elle a d’ailleurs fait polémique.
Lors de la fin de la seconde guerre mondiale, l’Europe est reconstruite et le plan Marshall va etre mit en place. Pour mettre du réchauffer les cœurs, le magazine américain life commande une photographie au photographe : Robert Doisneau.
Le photographe se promenait un jour dans les rues de paris et rencontra un jeunes couple. Il leur demanda s'il pouvait les prendre en photo en échange d’une rémunération. Cette photo demeura la photo la plus connue de l’artiste.
Nous comprenons donc que cette photo est une mise en scène, elle n’a rien de romantique…
De plus le photographe a mis en vente la photo originale pour 10 000 €.
Cela nous montre les vraies intentions du photographe.
Le spectateur qui est à la base émerveillée par cette photo se retrouve trompé.
Une personne qui tombe sur cette photo que nous sommes en train d’analyser, sans avoir le contexte se dira qu’il s’agit d’une belle histoire d’amour.
Grace a l’analyse de la photo et le contexte nous pouvons en déduire que les médias feraient tout etre « populaire » et gagner de l’argent.
Ils peuvent nous faire croire n’importe quoi et nous faire émettre toutes sortent d’émotion mais aussi nous berner très facilement. Le spectateur est pris comme quelqu’un de naïf et crédule.
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6 - J'ai sélectionné cette image car elle a instantanément capté mon attention, sa beauté singulière et sa richesse émotionnelle m'ont immédiatement séduit. Je la trouve particulièrement belle et chargée d'émotion, ce qui la rend fascinante à analyser et à explorer.
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7 - Cette analyse met en lumière la complexité de l'interprétation d'une image au sein d'un contexte social et culturel donné. La photographie en question, prise en 1950 par Robert Doisneau, initialement perçue comme une représentation poétique et romantique de la vie parisienne, révèle, après examen approfondi, une mise en scène orchestrée pour répondre à des motivations commerciales.
Le contexte de l'après-guerre et la volonté de susciter des émotions positives dans une Europe en reconstruction ont conduit à la commande de cette photographie par un magazine américain. Cependant, la réalité derrière l'image diffère des impressions initiales. La mise en vente de la photo originale par le photographe pour une somme considérable souligne les intentions financières qui ont motivé sa création.
Cette situation soulève des questions importantes sur la manière dont les médias peuvent manipuler les perceptions du public. L'analyse démontre la capacité des médias à créer des récits séduisants, influençant ainsi les attitudes et les émotions du spectateur. Elle met en garde contre la propension des médias à exploiter la crédulité du public, soulignant la nécessité d'une approche critique face aux images et aux récits médiatiques
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En définitive, cette étude suggère que la compréhension complète d'une image nécessite la prise en compte du contexte dans lequel elle a été produite, tout en soulignant la responsabilité du public de questionner et de remettre en cause les récits présentés par les médias afin d'éviter d'être trompé par des représentations artificielles de la réalité.
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8 - Il est donc impératif pour le spectateur de ne pas être naïf face aux médias, mais plutôt d'adopter une attitude critique et de prendre du recul afin de discerner les intentions et les manipulations potentielles derrière les images et les récits médiatiques.
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Date Created
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15/12/2023 17:59:58
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Identifier
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1273 3640 15/12/2023 17:59:5