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• Moussa Oumheta Le corbeau et le renard
  Il y a deux hommes qui se serrent la main au centre de l'image. Le premier homme, à gauche, est chauve avec des cheveux gris sur les côtés et porte un costume bleu avec une chemise blanche et une cravate rouge. Il a une moustache grise et semble avoir un air satisfait ou content. Le second homme, à droite, a une calvitie avancée avec des cheveux noirs sur les côtés, un grand nez et un sourire très large. Il porte un gilet gris par-dessus une chemise bleue avec une cravate bleue plus claire, un pantalon de couleur foncée et un badge ou une étiquette sur son gilet, qui peut indiquer son nom ou sa fonction. L'arrière-plan est dessiné avec moins de détails et représente l'intérieur d'un bâtiment. L'interaction entre les deux hommes semble amicale. La poignée de main est généralement un geste de salutation et de respect, ce qui suggère que ces deux personnages se rencontrent pour la première fois. Les personnages semblent avoir un âge similaire mais sont dessiné bien différemment : Le personnage de gauche a des traits du visage relativement lisses et symétriques, avec des contours nets. Sa moustache est bien taillée et ses sourcils sont fins. Ses traits suggèrent qu'il est soigné et d’un certain statut. Le personnage de droite présente des traits du visage plus marqués et expressifs. Il a un grand sourire qui révèle ses dents, des rides, un grand nez et des lignes de rire prononcées autour de la bouche. Ces traits suggèrent une personnalité plus détendue mais également fatiguée. Le personnage de gauche a des cheveux gris peignés sur les côtés, ce qui donne une impression de maturité et de respectabilité. Le personnage de droite est presque entièrement chauve, avec seulement une bande de cheveux noirs sur les côtés de la tête. Le personnage de gauche est habillé de manière très formelle avec un costume complet, ce qui suggère un statut professionnel élevé ou un contexte formel. Le personnage de droite, bien qu'il porte aussi une cravate, a une tenue légèrement moins formelle avec un gilet sans veste, ce qui indique une position moins hiérarchique ou un cadre professionnel moins rigide. La posture du personnage de gauche est droite et sa poignée de main semble ferme, ce qui peut dénoter de la confiance et de la formalité. Le personnage de droite se penche légèrement en avant dans la poignée de main. On remarquera également se dessiner dans les cheveux des deux hommes un renard et un corbeau, référence à une célèbre fable de La Fontaine.
• Aymeric Paglia Une de magazine
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• Axelle Tiphène Nzougha Nzué tout n'est que vanité
  Quand on voit l'image on aperçoit un crane mais quand on prête bien attention on voit une femme devant son miroir ou encore deux femmes qui dinent .
• Coralie Papon Révolution Nationale
  Dans l’objectif de faire l’analyse d’une image trompeuse selon une perspective sémiotique, j’ai choisi une affiche de propagande pendant le Régime de Vichy du maréchal Pétain en 1940. L’image a été publiée entre 1941 et 1942 par une agence toulousaine pour le Centre d’édition d’Avignon. C’est une illustration pédagogique d’avant guerre qui fait 59 cm sur 80 cm. L’auteur de cette propagande est René Vachet, illustrateur pour les Centres de propagande de la Révolution Nationale d’Avignon.
• Lucie Leriche La colombe au mauvais présage
  Il s'agit d'une colombe armée de missiles au niveau des ailes qui sont déployées avec en arrière plan un ciel nuageux aux couleurs jaunes et orangées.
• Mathilde PICARD affiche de campagne électoral caricature
  affiche publicitaire caricaturé de campagnes politiques
• Manon Marchand la distanciation : quand l'apparence trahit la vérité
  L'image est une photographie prise par un photographe professionnel dans une rue. Des personnes semblent être les uns derrières les autres en file avec une certaine distance entre chaque. Dans la photographie, on observe une scène qui semble avoir été capturée avec soin pour mettre en avant le respect des mesures de distanciation sociale liées à la pandémie de COVID-19. L'angle de la prise de vue donne l'impression d'une composition réfléchie, mettant en valeur l'espace et la disposition des personnes.
• candice loyer piscine
  L'image de la piscine de Schröder est une illusion d'optique qui illustre bien le fonctionnement de notre perception visuelle. Notre cerveau est capable de traiter une grande quantité d'informations visuelles en un temps très court. Cependant, il n'est pas infaillible. Il peut être trompé par des images qui sont ambiguës ou qui présentent des contradictions. Dans le cas de l'image de la piscine de Schröder, l'ambiguïté de perspective est créée par la combinaison de deux éléments : Les lignes diagonales de la piscine suggèrent que la piscine est profonde. Le rectangle de la balustrade suggère que la piscine est peu profonde. Lorsque nous regardons l'image, notre cerveau doit choisir l'interprétation qui est la plus probable. Si nous nous concentrons sur les marches, nous sommes plus susceptibles de conclure que la piscine est profonde. Si nous nous concentrons sur la balustrade, nous sommes plus susceptibles de conclure que la piscine est peu profonde. La façon dont nous percevons l'image dépend donc de la façon dont nous la regardons. Si nous changeons notre point de vue, nous pouvons voir l'image d'une manière différente
• Elise Martin Image trompeuse d'une différence de taille
  L’image créer présente une illusion d’optique qui nous induit en erreur par rapport à la taille respective de Léa (à gauche de l’image) et de moi (à droite), sur la photo nous pouvons voir que je suis plus petite que Léa alors que dans la vrai vie ma taille est de 1,68 m et Léa 1,66 m.
• Lucas Pirart Gutierrez Photo d'un joueur de football cachant son coéquipier
  On voit un joueur de football au centre de l'image
• Sonia Mohammed Merabet Laissez-vous emporter par l'art
  Dans cette analyse, nous allons étudier l’affiche ci-dessus titrée “Laissez-vous emporter par l’art”. La technique de production pour cette image trompeuse est une affiche de spectacle réalisée à l’aide du logiciel de conception graphique Canva. Les thèmes abordés seront le mystère, la métaphore et l’illusion d’optique comme le montre cette affiche. L’intrigue principale, quant à elle, portera essentiellement sur le message véhiculé au travers de cette représentation que l’on peut caractérisée comme étant énigmatique. En réalité, le fait d’associer l’illusion d’optique à l’art de la scène est une façon, en quelque sorte, de transposer mon analyse en un spectacle théâtral. À travers cette création, ma volonté était de faire un lien entre le voyage, ce qui justifie l’usage du champ lexical lié au monde marin comme le verbe “emporter” que l’on peut aisément interpréter comme le courant maritime, et le voyage artistique grâce à l’affiche de spectacle conceptualisée. Par ailleurs, le spectateur est convié à cet évènement le 26 Janvier 1998 et le choix de cette date n’est pas anodin. Effectivement, il s’agit de la date de la création du théâtre du Phénix de Valenciennes, endroit emblématique de la région Hauts-de-France pour toutes les représentations artistiques depuis près de trois décennies. Cette date vise ainsi à laisser tout récepteur perplexe quant à la véracité de cette image et quant au véritable message communiqué au travers de cette affiche : Quel est ce voyage auquel on désire me convier ? Dois-je prendre cette information au sens figuré ou s’agit-il d’un réel voyage maritime ou artistique ? Pourquoi le choix d’une telle date et a-t-elle un lien avec l’image représentée dans le corps de cette affiche ? Je peux également affirmer que le choix du noir et du blanc pour illustrer cette création a pour objectif de ne pas laisser percevoir davantage d’indices au spectateur au sujet notamment concernant l’origine de l’image présente sur l’affiche. Pour mieux appréhender le caractère trompeur de cette image, nous allons focaliser notre analyse sur la configuration du message au plan formel, sur la relation au contenu à ce qui est représenté ainsi qu’aux interprétants sociaux et culturels qui lui sont associés.
• Thomy Phanzu Le canard-lapin
  L’image est un dessin noir et blanc d'une tête d'animal. Le dessin est composé de lignes simples et de formes géométriques. Les éléments principaux du dessin sont les suivants : Une forme ovale qui représente la tête de l'animal. Deux yeux ronds et noirs. Un nez pointu et noir. Une bouche ouverte avec des dents. Deux oreilles pointues. Les éléments de l'image peuvent être interprétés de différentes manières. Interprétation 1 : Un canard Si l'on regarde l'image de haut en bas, on peut voir une tête de canard. Les yeux sont situés sur le dessus de la tête, le nez est situé au milieu de la tête, et la bouche est située en bas de la tête. Les oreilles sont situées sur les côtés de la tête. Interprétation 2 : Un lapin Si l'on regarde l'image de gauche à droite, on peut voir une tête de lapin. Les yeux sont situés sur les côtés de la tête, le nez est situé au milieu de la tête, et la bouche est située en bas de la tête. Les oreilles sont situées au-dessus de la tête. Interprétation 3 : Une combinaison de canard et de lapin Il est également possible d'interpréter l'image comme une combinaison de canard et de lapin. Les yeux peuvent être interprétés comme les yeux d'un canard, le nez peut être interprété comme le nez d'un lapin, et la bouche peut être interprétée comme la bouche d'un canard ou d'un lapin. Les oreilles peuvent être interprétées comme les oreilles d'un canard ou d'un lapin.
• Monsif Maachi L'élevage intensif, une réalité cruelle
  Dans l'éclatante clarté d'une journée ensoleillée, une scène idyllique s'étend à perte de vue. Des collines verdoyantes se succèdent harmonieusement, parsemées de fleurs sauvages vibrant au rythme du vent léger. Un ciel azur étire son manteau infini, témoignant d'une nature prospère et paisible. Cependant, au cœur de cette beauté apparente, se dissimule une réalité troublante. Si l'on scrute attentivement les contours de cette image idyllique, les motifs bucoliques se muent en une mosaïque insidieuse. Les collines deviennent des enclos confinés, où l'herbe fraîche cède la place à des étendues poussiéreuses. Les fleurs sauvages se transforment en rangées monotones de bâtiments grisâtres, où des milliers d'êtres vivants sont soumis à l'élevage intensif, loin des regards. Cette image trompeuse sert de toile de fond à une campagne de sensibilisation contre l'élevage intensif, révélant l'envers d'une réalité souvent dissimulée. Elle incite à la réflexion sur les conséquences de nos choix alimentaires et encourage chacun à prendre conscience des implications de l'élevage industriel sur notre planète, notre santé et le bien-être animal. Au-delà de la beauté apparente, l'image dévoile une vérité complexe, invitant le spectateur à s'engager pour un changement positif. L’affiche cherche à interpeller le destinataire et à susciter son indignation face aux conditions d’élevage intensif. Elle utilise pour cela un contraste fort entre l’image des vaches mignonne et innocentent et le titre qui décrit les conditions de vie des animaux dans les élevages intensifs. L’affiche s’inspire de l’imagerie traditionnelle des vaches, symbole de la pureté et de l’innocence. Elle détourne cette image pour dénoncer les conditions d’élevage intensif, qui sont contraires à ces valeurs.
• Marie Mobon Paris sur les réseaux
  L'image que j'ai choisi d'analyser paraît simple à première vue. En effet il s'agit d'une simple capture d'écran d'un post instagram. Celui-ci montre une photo vue du dessous de la Tour Eiffel. Ce type de photo parait classique au vu des nombreux touristes qui viennent chaque jour visiter la Tour Eiffel et postent les images de leur voyage sur les réseaux.
• Maissa MBAYE La participation à l'effort de la guerre en Ukraine
  les deux dirigeants face à la deux en Ukraine
• Sonia Mohammed Merabet Laissez-vous emporter par l'art
  L'image est une affiche en noir et blanc invitant le spectateur à un voyage artistique.
• Alex Macoine Un enfant avec une tête d'adulte
  Le premier plan qui prend la majeure partie de l’image est composé d’un groupe d'individus qui sont assis dans un parc ainsi que d’un couple qui se promène. Le second plan lui correspond à la suite de la route qui fuit de l’image. Le troisième plan lui représente un lac avec de la végétation; Dans cette image, on observe que le second plan agit en même temps comme une passerelle entre le premier et le troisième plan ainsi que d’un point de fuite de l’image qui sort du cadre de la photo.
• Fanny Meunier Populations abandonnées, faites confiance au soldat allemand !
  Il s’agit d’une affiche réalisée en grand format. On peut voir qu’il s’agit d’un support papier grâce à la texture du document. De plus, elle paraît ancienne en raison de l’aspect du papier qui paraît jaunit par le temps. Les couleurs utilisées pour l’affiche sont uniquement le noir et l’orange, qui devait être du rouge à l’origine. Au centre de l’image, nous pouvons observer quatre personnes, plus précisément un homme, un garçon et deux filles. On peut voir par l’aspect donné par les effets d’ombrage qu’il s’agit d’un dessin, sûrement fait à l’aide d’un crayon ce qui explique l’absence de couleurs afin de bien jouer sur les ombrages et faire ressortir des éléments grâce à cela. En raison de la nature de l’image, on ne peut pas parler de l’éclairage, ni de l’hors-champ car il n’y a pas de paysage, mais uniquement des personnes qui sont représentées sans leur environnement. Les personnes ont été coupées au niveau de leurs jambes, sauf le petit garçon que l’on voit entièrement du fait qu’il est porté à bras. Le dessinateur a souhaité donner plus d’importance en cadrant de cette manière les personnes et en les plaçant au centre de l’affiche. Sur le plan linguistique, nous pouvons voir dans un premier temps qu’il est écrit «Populations abandonnées, faite confiance au soldat allemand ! ». Cette inscription est séparée en deux et placée respectivement en haut et en bas. Le mot « populations », ainsi que les mots « faites confiance » sont inscrits en rouge, tandis que les mots « abandonnées » et « au soldat allemand ! » sont inscrits en noir. Les seuls mots inscrits en majuscules sont « Populations » et « au soldat allemand ». Le texte est écrit en français uniquement, et la phrase finit par un point d’exclamation. Sur le plan iconique, comme dit précédemment, on voit quatre personnes au centre. Tout d’abord, il y a un homme debout qui porte un uniforme sur lequel on peut distinguer un aigle. Au niveau de sa hanche à droite, on peut voir un casque. Il sourit en regardant l’enfant qu’il porte dans ses bras, tandis qu’il semble mettre son autre bras derrière les filles comme pour les tenir. Il paraît blond du fait que sa chevelure soit plus claire que celle des enfants qui ont été particulièrement foncés pour eux. Le petit garçon à droite est porté à bras par l’homme. On distingue que c’est un petit garçon du fait de sa petite taille. Il porte une sorte de couvre-chef. Il sourit en regardant dans notre direction pendant qu’il mange une tartine de pain. Concernant les deux dernières personnes sur le dessin, il s’agit de deux petites filles en raison de la différence de taille qui s’observe avec l’homme, elles ont toutes les deux les cheveux coupés au carré et elles portent des robes. Les deux filles regardent dans la direction du petit garçon et semble l’envier. L’une d’entre elles, celle située le plus à gauche, à portée sa main vers sa bouche.
• fanny Marquaille le grand hôtel des arts
  Cette image est une photographie prise au téléphone, datant de Décembre 2023. S’intitulant « Le grand hôtel des arts », elle représente ici une femme, sonnant a un hôtel. Ce document pictural a été conçu dans un petit village des Hauts de France, Quiévy.
• Donovan Lesoil Phat Chips
  L'image en question vient d’une publicité pour une marque fictive de chips appelée "Phat Chips", une parodie humoristique de la célèbre marque "Lay's". L’image est tirée d’une publicité présentant des chips qui permettent de perdre du poids. Rockstar Games joue avec cela et le fait que les ingrédients présents dans ces chips ne sont pas sains pour la santé. Cette publicité, présente dans l'univers virtuel de GTA, offre une perspective intrigante à explorer du point de vue sémiotique.
• Bénédicte LEROY Tenir dans ses mains
  La photographie est de format vertical, comporte 3 plans dans une profondeur : sur le premier plan il y a une femme (Tabata) qui est de côté avec les bras ouverts, sur le second plan il y a un homme (Julien) qui est entre les bras de Tabata et au dernier plan il y a le bâtiment Lycée Albert Châtelet de Douai.
• Clara Krysztof IT IS NOT HAPPENING HERE. BUT IT IS HAPPENING NOW.
  L'image est une photographie contenant une affiche d'Amnesty International. L'analyse portera principalement sur l'affiche créée mais la photographie dans son ensemble est importante pour comprendre la portée trompeuse de l'image.
• Rémi Mahouy Tweet du garçon au ballon
  Le document est une publication digitale créée avec différents outils de manipulation d’images : Leonardo qui est une intelligence artificielle de création graphique ; GIMP, un outil de de manipulation et de retouche d'image ; et Figma, un éditeur de graphiques vectoriels et un outil de prototypage. L’image trompeuse correspond à un tweet qui apparait comme avoir été postée le samedi 9 décembre 2023 sur le réseau social Twitter (appelé X aujourd’hui) par Simon Loticet un photographe amateur.
• Léane Lemoine De nombreux feux ont été allumés dans les rues de Paris ce jeudi 23 mars 2023, notamment en soirée, en marge de la manifestation contre la réforme des retraites.
  C'est une image prise lors des manifestations contre la réforme des retraites en mars 2023. On y voit les débordements recensés durant la manifestation.
• Hugo Lemaire Le salon Sensas
  On dit souvent que les apparences sont trompeuses. Mais parfois, l’illusion est tellement parfaite qu’on y croirait presque ! L’image est une photographie prise par moi-même le 9 avril 2023 dans la ville de Lille. Cette image se nomme “Le salon Sensas”, c’est une image coloré de format 1656 x 2208 pixels.